ptdr!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
[ cette OS est très personnelle, j'en souffre encore ]


Un Jour Comme Un Autre.....


Pourquoi ce jour ? Un vendredi 7, ce chiffre me hante depuis 3 ans maintenant. Elle a trouvée ce que quelle cherchait mais elle m’a brisée le cœur à jamais.

J’étais sur mon lit à feuilleter un magazine tout en écoutant de la musique. C’était pour moi une journée qui pour moi allait ce passer normalement sans évènement particulier. Les minutes passaient lentement et la pluie glissait sur mes vitres pleines de buées. Je tremblais sans savoir pourquoi, je me leva et alla me regarder dans le miroir contre ma porte. Mes joues pâles et mon regard sombre m’effrayais, mes gestes saccadés et faible m’inquiétais je retourna m’allonger puis je prit nonchalamment mon téléphone sur ma table de chevet en bois blanc. Je l’alluma et reçu un message je l’ouvrit et le lu ‘maintenant tout est finit…adieu’ je le relut 3 fois et me remit à lire n’y prêtant plus attention. Quelques minutes plus tard mon portable vibra à nouveau mais cette fois ci c’était un appel, je décrochai :
-oui ?
-Lauranne ? C’est la mère de Marine…
-euh…bonjour ça va ?
-je dois te dire quelque chose.
Sa voix était secouée de sanglots incontrôlables, un nœud se formait dans mon ventre tremblant, la peur avait prit tout contrôle sur moi. Un silence lourd et palpable se faisait sentir au bout de la ligne silencieuse :
-Marine s’est suicidé…il y a quelques minutes, nous sommes arrivés trop tard.
L’appel coupa, mon cœur se serra violement dans ma poitrine, mon souffle saccadé et ventilé suivait mes pleurs. Ce jour, un vendredi 7, elle est partit à jamais.


donc?

Oui ça m'a fait et ça me fait extrêmement mal......

Ouais fin faut que je continue et pas me laisser allé.

Ouais positive Pour une fois!x'D

Ouais!!!!!!!!!!!!!!!

Ouais sur!!!!x'D



ça vous fait mal au coeur??????? :shock:

mwa oçiii

Ouais sur!!!!!!!! :D


Dernière Inspiration

je regarde la télé sans intention particulière. Rien ne compte plus pour moi à présent. Une seule chose peut me rendre ma joie perdue. Je me lève et me dirige d’un pas nonchalant mais régulier vers la cuisine sombre et vide comme à son habitude. J’allume la lumière et prend une bière dans le réfrigérateur quasiment vide en cette fin de semaine. Je retourne sur le canapé tout en ouvrant ma canette. Je ferme les yeux et soupire de bien être. Les minutes s’écoulent comme les grains de sable d’un sablier mais mon esprit est ailleurs : je ne pense qu’à une seule chose.

En un mois, son emprise est devenue totale ; je ne vis plus qu’avec elle. Personne ne le sait. Mes parents ne voient rien. J’aime les effets qu’elle me procure. Rien ni personne peut l’égaler. Je n’existe plus quand elle est en moi. Elle circule librement dans mes veines : c’est mon héroïne. Il y a dix ans de cela, je m’étais juré de ne jamais la rencontrer ; d’éviter son chemin quoi qu’il m’en coûterait. Mais j’ai trahi ma promesse. Au point où j’en suis, plus rien ne peut stopper ma chute : je vis avec elle et mourrais avec elle. Personne ne peut comprendre ce que je ressens depuis maintenant quatre mois. Je ne vais plus à l’école. Je ne vois plus mes amis ; je préfère passer mon temps avec elle, ma meilleure compagne. Elle comprend mes peines et me les fait oublier quatre longues heures de bonheur. J’ouvre les yeux et pose mon regard vacillant sur l’horloge. Douze heures sept. J’ai dormi deux heures. Ma bière est toujours là, posée sur la table. Je me lève et m’étire puis part dans ma chambre. Dehors, le vent souffle et le soleil est au zénith. Je m’arrête devant le reflet que me renvoie le miroir de mon armoire. Maigre et blanche. Mes joues sont creusées et mes yeux éternellement cernés. Les veines gonflés et visible à l’extrême me crispe de douleur à chaque passage de mes doigts sur celles-ci. Je souris nerveusement : je suis inquiète.
Mais la réalité me rattrape : je vais à ma table de chevet, ouvre le tiroir et prends la seringue qui s’y trouve. Injection vitale… je ris sous le bien être immédiat qu’elle me procure ? les effets, pâles, me déçoivent : je double la dose. Aussitôt une montée d’adrénaline électrise mon corps. Les battements de mon cœur ralentissent : c’est elle, elle se propage en moi. L’air me manque et ma respiration se fait haletante. Mes paupières tombent. Un grand froid m’entoure. Je lâche lentement la seringue. Dernière inspiration. Tout est noir autour de moi.


alors? écrite ce soir!=D

Spoiler:

merci!!!!!!!!!!!!!!!!